Une soirée BDSM d'automne avec mon Maître

Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans

J'ai allumé les deux chandeliers garnis de bougies rouges dont l'odeur se répand dans la pièce sombre, tiré les lourds rideaux de velours brun. La nuit commence à tomber. Dehors le vent souffle et un volet bat… véniel détail qui me tourmente… pour accrocher ma pensée à un souffle de réalité… dans cette étrange attente !

J'attends son arrivée, comme il l'a exigé : simplement parée de mon collier de cuir noir et mes bas gris…et les méchantes pinces en métal qui laminent mes tétons, reliées par la lourde chaînette qui allonge mes seins et les plaque sur mon ventre…

Je suis à genoux dans le milieu de mon salon, les jambes bien écartées, les reins cambrés, les seins offerts… les bras réunis derrière la nuque, immobile. J'ai la sensation qu'une multitude de petits cœurs bat dans mon corps, que des nœuds invisibles me lient déjà.. Je ferme les yeux pour imaginer son visage, ses gestes, son parfum… Je ne connais de lui que le son de sa voix… et si je m'étais trompée? Et s'il me faisait trop mal malgré ses promesses ? Et si je lui déplaisais ? Et s'il ne venait pas ? Et si… ? L'angoisse monte encore… j'ai l'impression de vaciller… je suis suffoquée par l'angoisse !

"10 minutes" a-t-il dit, et il arrivera. 10 minutes qui me paraissent des heures !

A l'heure précise, j'entends la porte qui s'ouvre, les marches qui grincent sous ses pas, je baisse les yeux en voyant la porte qui s'ouvre… Je dis "bonjour Maître" d'une voix étranglée par l'émotion et l'appréhension… des instants à venir… de ne pas lui plaire…de n'être pas à la hauteur de ses exigences, de ses attentes, de m'être trompée dans mes envies d'obéissance… Mais, trop tard pour ça… il est là !

Il passe devant moi. Je respire le parfum poivré qui l'enveloppe… Le regard baissé, je vois ses chaussures en cuir noir, son costume en lainage, noir aussi. Encore un élément insignifiant, mais palpable auquel je me rattache pour ne pas me noyer dans l'irrationnelle situation… Je voudrais tant voir son visage…! J'ai promis… de ne pas poser mon regard sur son visage… Le désir de le regarder m'envahit ! Cependant ma servitude est telle que je n'ose élever plus haut le regard…

Sur une petite table de fer forgé, j'ai déposé tous les instruments réclamés. Il se dirige sans me prêter attention, me semble-t-il, vers la table . Je risque un petit regard glissé, et je le vois se saisissant de la cravache. Puis il avance vers moi et caresse mes seins douloureux avec le bout si doux de l'instrument. Très lentement, il retire une pince, j'ai une douleur lancinante qui prend la place de celle de la morsure de métal, puis la deuxième pince, il caresse doucement de ses doigts les pointes de mes seins… je me perds un instant dans la douceur de sa caresse… Juste un instant, comme un mirage…

Me tenant par la main, il m'aide à me relever, je chancelle un peu… et je dois présenter mes "fesses épanouies, ouvertes, et insolentes" à son regard… Acte très blessant pour ma pudeur ! J'ai l'impression que je vais m'évanouir de honte ainsi offerte. Mais il y a ce trouble au fond de mon ventre… cette envie d'être à lui, de le recevoir au fond de moi… je me liquéfie en pensant à sa présence en moi. Il caresse mon intimité, avant d'assener sur mon sexe gonflé d'envie quelques petits coups de la cravache … qu'il abandonne négligemment sur la moquette blanche à mes pieds, comme un rappel de ma condition…et me laisse ainsi, le sexe battant et offert , béant pour Lui… ! Je n'ai pas le droit de bouger, je voudrais serrer mes jambes pour comprimer mon sexe… et jouir !

Je reste là au milieu de la pièce, la flamme d'un bougie vacille, grésille dans le silence… juste troublé par nos respirations, je reste là devant Lui… qui s'assoie dans un fauteuil et allume, imperturbable, une cigarette… Il me détaille, parle de mes seins, de ma croupe, de mon indécence, et je bois ses paroles… Je voudrais Lui dire que j'ai envie de lui, que je suis son ombre, son esclave, son otage… tout pour qu'enfin il me délivre de cette envie trop puissante pour moi… mais je ne dis rien… et j'attends immobile…

Il écrase méticuleusement sa cigarette. Je pose mon regard sur sa main, très belle, un peu osseuse, noueuse, avec des veines bleues saillantes et des doigts longs.

Il a choisi une autre cible que mon sexe avide de lui. Sa main se pose juste au dessus de mon sexe, remonte le long de mon ventre, lentement, je frissonne, je gémis… elle caresse au passage l'un, puis l'autre de mes seins, elle me tire vers lui par l'anneau de mon collier, et… comble du bonheur… y fixe une laisse… une lourde laisse dont les maillons de métal tintinnabulent…

Il prend la bride en cuir noir de la laisse, me tire d'un petit coup sec vers lui, et vers le sol, ce qui a pour effet de me pencher un peu en avant, comme l'esclave que je suis face à son Seigneur. Il me promène dans la pièce ainsi, puis a quatre pattes n'hésitant pas à user de la cravache sur mes fesses bien tendues et offertes, pour me faire accélérer… A ce moment là, je suis sure que je vais mourir, là, sur place, de honte et de confusion, j'essaie d'imaginer le spectacle que ma posture impudique offre au regard de mon Maître. Fin de la promenade", Il caresse ma croupe et me redresse, lâche la laisse dont le métal froid vient se nicher dans le sillon de ma poitrine.

Il prend la paire de menottes, je ne les vois pas mais je reconnais leur bruit caractéristique, m'attache les mains dans le dos et me fait mettre à genoux. Mes yeux sont alors bandés par un foulard de soie parfumée de mon essence préférée, j'aime cette odeur qui m'entête. Je vibre de désir, ainsi enchaînée. Je me sens vulnérable ainsi privée du regard… privée de mes mains, dérisoires remparts qui ne peuvent plus me protéger ! Je suis à lui ! Son objet, son plaisir de l'instant, son jouet… Entre ses mains… j'ai envie de jouir, envie de lui crier que je suis à lui, que je ferais tout pour lui… tout ! Etre son esclave !!! …

Je crie de surprise. C'est le martinet qui s'est abattu sur mes seins, sans sommation.. . les lanières tantôt me caressent tantôt mordent la peau fragile m'arrachant des plaintes de plus en plus fortes… et quelques larmes perdues sous le bandeau…

Le supplice est de courte durée…Il me bascule vers l'avant, les fesses en l'air les mains dans le dos et les seins contre la moquette de laine qui les agace, dans l'instant je me surprends à penser que je devrais déposer quelques gouttes de parfum sur le sol… Le martinet s'abat sur mes fesses, une fois, deux fois… puis je ne compte plus les coups légers parfois, cruels d'autres fois, quand ils s'égarent sur mon sexe qui devient brûlant.

J'essaie d'échapper aux mordantes caresses des lanières de cuir, j'oublie toute décence, je tente de serrer les cuisses pour mieux les ouvrir, je crie, je le supplie, et je lui offre le spectacle de ma soumission totale, asservie, vaincue… je voudrais me laisser glisser, m'abandonner, lui lancer l'expression qui fera cesser mes souffrances… mais je refuse de capituler, je veux me donner encore… Mes fesses sont en feu, je suis à bout…

Il saisit certainement mon désarroi, et les lanières se font caresses, sa main douce et chaude parcours les marques laissées par le cuir… Il me flatte comme un animal, je deviens animal… Je ne bouge plus, je profite de la douceur magique du moment… Je sens un objet qui me pénètre, c'est le manche de la cravache, je le reconnais entre mille. Il va et vient pour s'arrêter à l'instant je vais jouir… "Arrête !" Je n'ai pas la permission de jouir !

Il m'aide à me remettre à genoux, mon sexe bat comme un cœur… je suis toujours aveugle de ce bandeau… j'entends le bruit caractéristique d'un zip et je reçois son sexe dur et chaud dans ma bouche, je sens enfin le parfum de sa peau contre moi….. Ses mains caressent mes cheveux avant de tirer vers lui pour m'enfoncer son dard au fond de la gorge.. son envie est telle que son plaisir arrive trop vite à mon goût … il se répand dans ma bouche, et je n'en finit pas de le boire, de passer ma langue sur son sexe vaincu… je demeure ainsi sans bouger, sa main dans mes cheveux.. mon sexe affolé… Il libère mes mains.

Il me fait allonger sur la moquette rugueuse et me caresse doucement, m'affolant, arrêtant, plus doucement, plus fort, plus vite, plus ……. et je jouis éperdument… je crie, je supplie, je m'accroche de mes deux mains à sa main libre, je m'effondre en larmes de ce plaisir si puissant trop longtemps contenu ! Avant de le voir enfin, quand un long moment après, il retire mon bandeau… "Merci Maître".

Auteur inconnu mais des mots blancs détruits par yahoo

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